En ce qui nous concerne, la frustration connait pas mais la risée aspoise peut être.
Jamais trois sans quatre.
Mais cette fois ci, nous mettons avec Louis , toutes nos chances de côté pour connaitre enfin le jour de gloire, notre gloire. Il faut mettre définitivement un terme à cette aventure moqueuse.
Mais pour cela, aujourd'hui, nous prenons et amenons notre redoutable Arme Fatale
La clé de la gloire: l'ARME FATALE
Il avait annoncé la couleur et il valait mieux que l'on réussisse au vue du nombre de grimpeurs et personnes divers qui se sont arrêtés pour nous interroger ou regarder...
Ah oui, la voie , c'est un peu comme la goulotte des yeux à Gourette, elle est juste en bordure de route. C'est le fameux toit que l'on voit juste avant le village de Etsaut.
Le topo
Approche longue de 2 minutes pour accéder au pied de la voie.
Pour gagner du temps sur une météo très incertaine, et connaissant bien cette première longueur, je démarre très serein.
Début facile avec une paroi qui se redresse petit à petit pour buter sur un premier bombé. A ce niveau, un petit trou permet de coupler 3 cornières pour pouvoir mettre une pédale et aller clipper le point suivant.
L2 Notre Arme Fatale prend la suite pour aller jouer à la balançoire dans le toit.
Ca grimpouille un peu avant d'arriver au toit
La ballade horizontale peut commencer. C'est Fort Boyard avec un toit super bien équipé.
Ambiance dans la traversée
Dans la troisième longueur, on refait parler les étriers et les sangles pour sortir en libre par une jolie fissure plus facile qu'elle n'y parait.
Voilà, c'est fait, l'honneur est sauf.
L'Arme Fatale nous a lavé de cet affront. C'est jour de gloire.
Pour cette petite aventure, nous avons utilisé en matos 3 cornières et le Camalot rouge pour la première longueur et le totem bleu pour la fissure de sortie. Prendre surtout un bon jeu de sangles ou des étriers et des fifis ou crochets pour se pendre sur les points et passer correctement les épreuves de Fort Boyard ( d'ailleurs, où était le nain?)
Descente facile en récupérant le beau sentier qui passe derrière la paroi ( 5 minutes jusqu'à la voiture)
La marque de l'Arme Fatale est un Jean Pierre Rio. Mais qu'est ce qu'il fout avec des glandus comme nous?
Il y a une faute d'orthographe. Mon surnom serait plutôt "larme fatale" dès que je me trouve 20cm au dessus du point...
RépondreSupprimerSalut, avec Jérôme, nous étions de ceux qui se sont arrêtés pour vous regarder, la réussite vous tendant enfin les bras puisque vous étiez déjà dans la deuxième longueur. D'en bas, je n'ai pas reconnu Louis, le seul de vous trois que je connais. J'ai pris quelques photos avec mon portable. Si tu les veux, envois-moi un mail à ivan.thomas"AT"ansabere.fr
RépondreSupprimerBravo à vous.
Ivan