C'était l'occaz pour aller refaire "Artémis", voie d'artif que nous avions ouvert ce début d'hiver avec Jean Pierre. Pour cela j'ai réussi à amener Louis et Steph afin d' avoir un véritable retour objectif de cette petite balade au chapeau d'Etsaut.
A la sortie, le jugement est tombé: une jolie voie école demandant de la dextérité pour le pitonnage, un placement de friends et de coinceurs judicieux, une petite danse sur étrier ou pédale et une certaine aisance sur crochet qui aura manquée à l'instructeur CAF, qui, du coup, explosera, que dis je, couinera à la sortie du deuxième surplomb comme un petit cochon pendu sentant l'égorgement arrivé (tiennent plus la route ces cafistes, à force d'organiser des weekends rassemblements pour avoir l'impression de faire de la montagne et d'enseigner trois broutilles aux plagistes perdus...)
Plus sérieusement, une ligne d'artif plus difficile et plus technique que sa petite sœur à sa droite "Inaqui Cabo"
Topo d'Artémis
L1 Moi dans le départ ( photos de Steph)
Les zigs toujours dans L1 (mes photos)
L2: 1er surplomb
L3: deuxième surplomb avec sortie sur crochet pour attraper un arbuste et se rétablir sur une vire (fatidique pour certain). Relais pas très confort sur 2 spits. J'ai préféré faire un relais sur le replat en bourrant une fissure de friends et de coinceurs.
Descente très facile en rejoignant le sentier qui passe derrière et retour voiture en 5 minutes chrono.
Durant notre ascension, un guide local s'est prêté au jeu de faire la première longueur en solo. Il semblerait que son élan ne soit stoppé au relais en raison d'un pavé que Louis aurait balancé afin de le dissuader de nous ridiculiser: pardon Jean Bapt. (Cependant, il parait qu'il a aimé cette 1ère longueur)
AGUERO: Diédro de las sabinas 180m 6b+ (V+)
Le lendemain, la triplette que nous sommes est rejoint par Sir Rio et nous nous faisons la malle vers le pays des tapas, de "Réunion" des bocadillos et du soleil.
Pour ce qui est du soleil, ce n'est pas ce jour que nous attraperons le cancer de la peau et il est fort à parier , que, vue la gueule du ciel, on risque de ramasser sur le coin de la gueule (la notre cette fois ci) le pipi des anges.
C'est après 1,2,2,4,5,6,...12 cafés que l'on se décide de décoller pour rendre une visite de courtoisie aux Mallos de Aguero.
Objectif du jour: Diédro de las sabinas.
Une jolie voie très bien équipée avec une première longueur au support mitigé pour ensuite devenir excellent. J'ai adoré l'énorme genévrier juste avant R2.
Le mur vertical, voire légèrement déversant en 6b+ peut se passer en tirant aux clous et on s'en n'est pas privé.
L1: 6a Rocher parfois douteux
L2: V+ Un genévrier comme arche de Noé
AGUERO: Diédro de las sabinas 180m 6b+ (V+)
Le lendemain, la triplette que nous sommes est rejoint par Sir Rio et nous nous faisons la malle vers le pays des tapas, de "Réunion" des bocadillos et du soleil.
Pour ce qui est du soleil, ce n'est pas ce jour que nous attraperons le cancer de la peau et il est fort à parier , que, vue la gueule du ciel, on risque de ramasser sur le coin de la gueule (la notre cette fois ci) le pipi des anges.
C'est après 1,2,2,4,5,6,...12 cafés que l'on se décide de décoller pour rendre une visite de courtoisie aux Mallos de Aguero.
Objectif du jour: Diédro de las sabinas.
Une jolie voie très bien équipée avec une première longueur au support mitigé pour ensuite devenir excellent. J'ai adoré l'énorme genévrier juste avant R2.
Le mur vertical, voire légèrement déversant en 6b+ peut se passer en tirant aux clous et on s'en n'est pas privé.
L1: 6a Rocher parfois douteux
L2: V+ Un genévrier comme arche de Noé
L3 Joli petit mur en 6a+ .
L4: 6b+ ou A0. Un peu de pluie, histoire de refroidir nos brandillons et une excuse à 2 balles pour pouvoir tirer sur les dégaines.
L5: V+ avec un départ teigneux et un terrain qui se couche. La pluie a cessée.
Enchainement de L6 et L7
Les tachons au sommet. Mais où est la kich?
Fière allure ces Mallos de Aguero
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