Ce qui me fait râler, c'est que je sais qu'il nous reste 2 petites longueurs, voire 1 grande pour finir et que cela va demander beaucoup de temps, d'énergie et de bagnole.
Mais je dois avouer tout de même que j'ai eu mon petit moment de bonheur : dans le règne animal, le dominant délimite son territoire en urinant copieusement un peu partout, tandis que les autres s'y frottent ou s'en imbibent en signe de soumission. J'ai jubilais quand JP s'est rendu compte qu'il s'agrippait avec vélocité à un arbuste que j'ai bénis de mon liquide jaunâtre.
Aujourd'hui, la stratégie est simple: une remontée par la via ferrata, attraper le haut de l'éperon, installer un rappel, descendre au dernier relais, ravaler le rappel et sortir la voie de façon traditionnelle.
La voie parcourt le deuxième pilier en partant de l'éperon Gallego. On y a gravé 5 longueurs, semi équipées, sur un rocher dans l'ensemble bon avec quelques zones plus délicates. Tous les relais sont équipés ( prévoir remplacement des cordelettes laissées sur place) et il est possible de descendre soit dans la voie, soit par la via ferrata ou par la ligne de rappels existant dans la brèche Est.
Le topo fait par Jean Pierre
L'éperon en question
L1
L2
L3
L4
L5
D'autres clichés sur les articles précédents: Pena Rueba début de nouvelle voie et Pena Rueba bis répétita
Matos: 1 jeu de micro et 1 jeu de friends jusqu'au n°3 Camalot
"Belle journée de grimpe en montagne" : je pense qu'on a pas du voir les mêmes nuages le matin!!!
RépondreSupprimerThe pilot